Née en 1985 à Avignon, Gaëlle Grandon est journaliste et réalisatrice. Elle devient au fil du temps créatrice de contenus, sous toutes ses formes. Diplômée de l’Institut des Médias de Paris et du Centre Européen de Formation à la Production de films, avec une double formation en documentaire et en écriture de scénario, elle a créé en 2020 sa société de production, Zinnia, une fleur symbole de sagesse chez les Pueblos du Mexique. Un nom choisi également en hommage à sa famille.

Cette création fait suite à un riche parcours de 13 ans de journalisme audiovisuel de l’enquête au reportage (culture, société, consommation, écologie), devant et derrière les caméras. Curieuse des pratiques du bout du monde comme du bout de la rue, elle met en lumière des territoires, des personnes et des histoires de vie, en France et à l’étranger. (Provence-Alpes-Côte d’Azur, Ile-de-France, Bourgogne-Franche-Comté, Europe, les Etats Unis, Canada, Malte, Royaume Uni,  Russie, Comores…)

S’attendant toujours à l’inattendu, elle nourrit aussi sa connaissance du monde au travers de voyages où indifféremment, elle intègre les milieux des plus informels au plus protocolaires. (Europe, Inde, Egypte, Transsibérien, Mongolie, Chine, Brésil…)

Explorant les différentes facettes de la  complexité humaine, de nos fragilités, les liens entre le corps et l’esprit, elle pointe nos contradictions, nos doutes, nos angoisses, et aussi nos blocages.  Elle fuit les dogmes, segmentations et silos, qui nous séparent, pour nous proposer des intersections, comme autant de ponts entre des mondes qui s’ignorent, pour les transformer en sources d’inspiration.

Son film “Le shaman et la médecin”, propose la convergence d’une médecine ancestrale et de la médecine actuelle occidentale dans la projection d’un futur potentiel. Cette exploration réussie donne lieu à un second film. Une nouvelle rencontre, cette fois-ci en Asie, pour  continuer cette traduction d’une pratique à l’autre, mettre des mots sur l’invisible,  relier ces deux mondes. La réalisatrice  poursuit ainsi son chemin de créatrice de liens. Au plus proches des médecines et des êtres qui la font.

Mes passions et activités créatives,

Gaëlle joue du piano depuis l’âge de 6 ans, lorsqu’elle a demandé à ses parents de l’inscrire à l’auditorium de son village, dans le sud de la France. Très attachée au détail et proche de la nature, elle se ressource et s’inspire auprès des animaux, notamment des chevaux qu’elle côtoie avec passion depuis l’enfance. Auprès d’eux, elle utilise la voix pour les mener sur le chemin de l’apprentissage. Par ailleurs, Gaëlle suit des cours de chants, de danse et de théâtre. Enfin, elle ne vit pas sans la pratique et l’étude d’une spiritualité de lignée bouddhiste qu’elle place au cœur de sa vie depuis plus de 10 ans, comme une hygiène qui lui permet l’atteinte d’une certaine clarté d’esprit et une force vitale renouvelée et profondément sincère en toutes circonstances.